KEYTRUDA® comme traitement de première intention contre le CCR métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM1
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Explorez KEYTRUDA® dans le cadre de l’étude KEYNOTE-177 menée auprès de patients atteints d’un CCR métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM
KEYNOTE-177: étude contrôlée par comparateur actif sur KEYTRUDA® pour le traitement de première intention des patients atteints d’un cancer colorectal métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM1
Aperçu de l’étude1
- Étude ouverte multicentrique à répartition aléatoire et contrôlée par comparateur actif
- Les groupes de traitement ont reçu KEYTRUDA® par rapport à une chimiothérapie#
- Menée auprès de 307 patients atteints d’un CCR associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM n’ayant jamais reçu de traitement
- Le statut de la tumeur à l’égard de l’IMS et du SRM a été déterminé localement au moyen de la méthode PCR ou par IHC, respectivement.
- Les sujets ont été répartis de façon aléatoire (1:1) dans l’un ou l’autre des groupes de traitement
- Les patients atteints d’une maladie auto-immune ou d’une affection nécessitant un traitement immunosuppresseur ont été exclus de l’étude
Groupes de traitement1
KEYTRUDA® à 200 mg par voie IV toutes les 3 semaines
Un des schémas de chimiothérapie suivants par voie IV toutes les deux semaines au choix du chercheur
mFOLFOX6 ou mFOLFOX6 en association avec le bévacizumab ou le cétuximab : oxaliplatine à 85 mg/m2, leucovorine à 400 mg/m2 (ou lévoleucovorine à 200 mg/m2),et fluorouracile à 400 mg/m2 en bolus le jour 1, puis fluorouracile à 2400 mg/m2 sur 46 à 48 heures. Bévacizumab à 5 mg/kg le jour 1 ou cétuximab à 400 mg/m2 à la première perfusion, puis à 250 mg/m2 par semaine.
ou
FOLFIRI ou FOLFIRI en association avec le bévacizumab ou le cétuximab : irinotécan à 180 mg/m2, leucovorine à 400 mg/m2 (ou lévoleucovorine à 200 mg/m2), et fluorouracile à 400 mg/m2 en bolus le jour 1, puis fluorouracile à 2400 mg/m2 sur 46 à 48 heures. Bévacizumab à 5 mg/kg le jour 1 ou cétuximab à 400 mg/m2 à la première perfusion, puis à 250 mg/m2 par semaine.
- Le traitement par KEYTRUDA® ou la chimiothérapie s’est poursuivi jusqu’à la constatation d’une progression de la maladie par le chercheur, conformément aux critères RECIST 1.1, ou l’apparition d’une toxicité intolérable.
- Les patients traités avec KEYTRUDA® dont la maladie ne progressait pas pouvaient recevoir le traitement pendant une période maximale de 24 mois ou 35 administrations (selon l’éventualité la plus tardive).
- Les patients qui présentaient une progression subséquente de leur maladie pouvaient être traités de nouveau avec KEYTRUDA® cdurant une période additionnelle maximale de un an.
- Le statut de la tumeur a été évalué toutes les 9 semaines pendant les 45 premières semaines et toutes les 12 semaines par la suite.
- Les patients répartis au hasard pour recevoir une chimiothérapie ont eu la possibilité d’être traités avec KEYTRUDA® dès la constatation d’une progression de la maladie.
Paramètres principaux
- Survie sans progression, évaluée d’après une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1
- Survie globale
Paramètres d’évaluation secondaires
- Taux de réponse objective, obtenues au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1
CCR = cancer colorectal; IC = intervalle de confiance; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; RR = rapport de risque; IMS = instabilité microsatellitaire; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
*Selon le modèle de régression de Cox.
†Selon le test logarithmique par rangs.
*Basé sur une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST v1.1.
#Les schémas de chimiothérapie au choix du chercheur étaient les suivants : mFOLFOX6 (oxaliplatine, leucovorine et fluorouracil), omFOLFOX6 en association avec du bévacizumab ou du cétuximab, FOLFIRI (irinotécan, leucovorine et fluorouracil) ou FOLFIRI en association avec du bévacizumab ou du cetuximab.Survie sans progression (analyse provisoire)1
Réduction de 40 % du risque de progression de la maladie ou de décès avec KEYTRUDA® Réduction de 40 % du risque de progression de la maladie ou de décès avec (IC à 95 % : 0,45 à 0,80; p = 0,0002†)
KEYTRUDA®
à raison de 200 mg toutes les 3 semaines
n=153Chimiothérapie
n=154
SSP154%
82 patients sur 153 ayant présenté un événement73%
1113 patients sur 154 ayant présenté un événementSSP médiane1(IC à 95%)16,5 mois (5,4 à 32,4)8.,2 mois (6,1 à 10,2)KKaplan-Meier sur la survie sans progression dans le cadre de l’étude KEYNOTE-177 (analyse provisoire)
Survie globale (paramètres principaux)
- L’analyse définitive de la SG précisée dans le protocole a été effectuée 12 mois après l’analyse de la SSP et après que 62/140 patients aient présenté un événement dans le groupe recevant KEYTRUDA® vs 78/140 dans le groupe recevant une chimiothérapie
- Aucune différence significative sur le plan statistique n’a été observée entre KEYTRUDA® et la chimiothérapie. Le RR pour la SG était de 0,74 (IC à 95 % : 0,53 à 1,03) et la valeur de p (basée sur le test logarithmique par rangs stratifié et comparée à un seuil de signification de 0,0246) était de 0,0359.
- La SG médiane n’a pas été atteinte (IC à 95 % : 49,2 mois à N.A.) chez les patients recevant KEYTRUDA® , tandis qu’elle était de 36,7 mois (IC à 95 % : 27,6 mois à N.A.) chez ceux recevant une chimiothérapie.
- Au total, 60 % des patients qui avaient été répartis au hasard pour recevoir une chimiothérapie ont changé de groupe de traitement et ont subséquemment reçu des traitements anti-PD-1 ou anti-PD-L1, y compris KEYTRUDA®.
Taux de réponse objective (paramètre d’évaluation secondaire)
Taux de réponse objective de 44 % avec KEYTRUDA® par rapport à 33 % avec la chimiothérapie1
KEYTRUDA®
à raison de 200 mg toutes les 3 semaines
n=153Chimiothérapie
n=154
Taux de réponse objective44%
(35,8 à 52,0)33%
(25,8 à 41,1)Taux de réponse complète11 %4 %Taux de réponse partielle33 %29 %CCR = cancer colorectal; IC = intervalle de confiance; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; RR = rapport de risque; IMS = instabilité microsatellitaire; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
*Selon le modèle de régression de Cox.
†Selon le test logarithmique par rangs.
*Basé sur une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST v1.1.
#Les schémas de chimiothérapie au choix du chercheur étaient les suivants : mFOLFOX6 (oxaliplatine, leucovorine et fluorouracil), omFOLFOX6 en association avec du bévacizumab ou du cétuximab, FOLFIRI (irinotécan, leucovorine et fluorouracil) ou FOLFIRI en association avec du bévacizumab ou du cetuximab.Profil d’innocuité éprouvé de KEYTRUDA® par rapport à la chimiothérapie chez les patients atteints d’un cancer colorectal associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM..
Les effets indésirables liés au traitement de grades 3 à 5 les plus couramment observés chez les patients recevant KEYTRUDA® étaient les suivants :
Effet indésirableKEYTRUDA®
à raison de 200 mg toutes les 3 semaines
(n=153) (%)Chimiothérapie
(n=143)(%)Diarrhée2,09,8Fatigue2,09,1Augmentation du taux d’alanine aminotransférase2,00,7Colite2,00- 22 % des patients ont présenté des effets indésirables liés au traitement de grade ≥ 3.
- Des effets indésirables liés au traitement ayant entraîné l’abandon de KEYTRUDA® sont survenus chez 9,8 % des patients.
- Les effets indésirables liés au traitement les plus fréquents ayant mené à l’abandon du traitement et survenus chez plus d’un patient) étaient les suivants : augmentation du taux d’alanine aminotransférase (n = 2), colite auto-immune (n = 2), colite (n = 2) et hépatite (n = 2).
- Le temps médian écoulé avant l’abandon du traitement en raison d’effets indésirables liés au traitement était de 6,3 mois.
Effets indésirables liés au traitement, tous grades confondus (signalés chez ≥ 10 % des patients):1
Effet indésirableKEYTRUDA®
à 200 mg toutes les 3 semaines
(n=153)(%)Chimiothérapie
(n=143)(%)Diarrhée24,8052.,40Fatigue20,9044,10Diminution de l’appétit17,8034,30Prurit13,704,90Nausées12,4055,20Augmentation du taux d’aspartate aminotransférase11,104,90Éruption cutanée11,107,70Arthralgie10,501,40Hypothyroïdie10,500Asthénie7,2017,50Anémie5,9011,90Stomatite5,2030,10Alopécie3,3019,60Vomissements3,3028Étourdissements2,6010,50Inflammation des muqueuses2,6017,50Pour connaître la liste complète des effets indésirables cliniques et biochimiques, veuillez consulter la monographie du produit.
CCR = cancer colorectal; IC = intervalle de confiance; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; RR = rapport de risque; IMS = instabilité microsatellitaire; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
*Selon le modèle de régression de Cox.
†Selon le test logarithmique par rangs.
*Basé sur une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST v1.1.
#Les schémas de chimiothérapie au choix du chercheur étaient les suivants : mFOLFOX6 (oxaliplatine, leucovorine et fluorouracil), omFOLFOX6 en association avec du bévacizumab ou du cétuximab, FOLFIRI (irinotécan, leucovorine et fluorouracil) ou FOLFIRI en association avec du bévacizumab ou du cetuximab.
KEYTRUDA® comme traitement de deuxième intention contre le CCR métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM1
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Explorez KEYTRUDA® dans le cadre de l’étude KEYNOTE-164 menée auprès de patients atteints d’un CCR métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM
KEYNOTE-164: étude ouverte à un seul groupe sur KEYTRUDA® menée chez des patients atteints d’un cancer colorectal (CCR) à un stade avancé associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM dont la maladie a progressé après un traitement avec une fluoropyrimidine, de l’oxaliplatine et de l’irinotécan.1
Aperçu de l’étude1
- Étude multicentrique ouverte de phase II sans répartition aléatoire et à un seul groupe
- Les patients ont reçu KEYTRUDA® à raison de 200 mg toutes les 3 semaines jusqu’à constatation d’une toxicité intolérable ou d’une progression de la maladie.
- Encompassed 61 patients with metastatic MSI-H or dMMR CRC
- L’étude a été menée auprès de 61 patients atteints d’un CCR associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM
- Les patients atteints d’une maladie auto-immune ou d’une affection nécessitant un traitement immunosuppresseur ont été exclus de l’étude
- Les patients cliniquement stables présentant des signes initiaux de progression de leur maladie étaient autorisés à poursuivre le traitement jusqu’à ce que la progression de leur maladie soit confirmée.
- Les patients dont la maladie n’avait pas progressé pouvaient recevoir le traitement pendant une période maximale de 24 mois.
- Les patients qui présentaient une progression subséquente de leur maladie pouvaient être traités de nouveau durant une période additionnelle maximale de un an.
- Dans le cadre de l’étude KEYNOTE-164, le statut de la tumeur a été évalué toutes 9 semaines.
Groupes de traitement1
KEYTRUDA®à 200 mg par voie IV toutes les 3 semaines
Paramètres d’efficacité principaux*1
- Taux de réponse globale, obtenu au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1
- Durée de la réponse, obtenue au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1
Paramètres d’évaluation secondaires
- Délai avant la réponse
CCR = cancer colorectal; DR = durée de la réponse; IMS = instabilité microsatellitaire; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
* Valeurs obtenues au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1.
‡ Selon les estimations effectuées par la méthode de Kaplan-Meier; l’analyse comprend 14 patients présentant une réponse de 6 mois ou plus.
† Les renseignements sur le profil d’innocuité reposent sur une combinaison de données issues des études KEYNOTE-164 et KEYNOTE-158.Taux de réponse objective
Taux de réponse objective de 28 % avec KEYTRUDA® (IC à 95 % : 17,1 à 40,8) chez les patients atteints d’un CCR associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM (n = 61)
- Taux de réponse complète de 0 %
- Taux de réponse partielle de 28 %
Durée de la réponse
Durée de la réponse ≥ 6 mois avec KEYTRUDA® chez 82 %‡ des patients atteints d’un CCR associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM ayant déjà reçu ≥ 1 traitement antérieur ou 2 traitements antérieurs ou plus1‡
KEYTRUDA®à raison de 200 mg toutes les 3 semaines (n=61)Durée de la réponse* (Médiane en mois [plage])Délai de réponse (paramètre d’évaluation secondaire) (Médiane en mois [plage])DR ≥ 6 mois chez 82 % des patients (N.A. [2,9+ à 12,5+])4,0 mois [1,8 à 10,4]CCR = cancer colorectal; DR = durée de la réponse; IMS = instabilité microsatellitaire; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
* Valeurs obtenues au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1.
‡ Selon les estimations effectuées par la méthode de Kaplan-Meier; l’analyse comprend 14 patients présentant une réponse de 6 mois ou plus.
† Les renseignements sur le profil d’innocuité reposent sur une combinaison de données issues des études KEYNOTE-164 et KEYNOTE-158.KEYTRUDA® a été associé à un profil d’innocuité éprouvé chez les patients atteints d’un cancer colorectal métastatique associé à une forte IMS ou à une déficience du SRM ayant déjà été traités1†
Les effets indésirables les plus fréquents de grade 3 à 5 étaient les suivants†1:
Effet indésirableKEYTRUDA® à 200 mg toutes les 3 semaines
(n=155) (%)
Pancréatite1,9Augmentation du taux sanguin de phosphatase alcaline1,9Augmentation du taux de gamma glutamyl transférase1,9- En tout, 14 % des patients ont présenté des effets indésirables de grade ≥ 3
- Des effets indésirables liés au traitement ayant entraîné l’abandon de KEYTRUDA® sont survenus chez 4,5 % des patients atteints d’un cancer associé à une forte IMS
- Les effets indésirables liés au traitement les plus fréquents ayant mené à l’abandon du médicament à l’étude (survenus chez au moins 2 patients) étaient les suivants : pneumonite (n = 2, 1,3 %); et augmentation du taux sanguin de phosphatase alcaline (n = 2, 1,3 %)
- Le temps médian écoulé avant l’abandon du traitement en raison d’effets indésirables liés au traitement était de 0,7 mois
Les effets indésirables liés au traitement, tous grades confondus (signalés chez ≥ 10 % des patients), étaient les suivants1†
Effet indésirableKEYTRUDA® 200 mg toutes les 3 semaines
(n=155) (%)
Diarrhée11Nausées11Fatigue11Prurit11.6Pour connaître la liste complète des effets indésirables liés au traitement, veuillez consulter la monographie du produit.
CCR = cancer colorectal; DR = durée de la réponse; IMS = instabilité microsatellitaire; RECIST = critères d’évaluation de la réponse tumorale dans les tumeurs solides; SRM = système de réparation des mésappariements; TRO = taux de réponse objective.
* Valeurs obtenues au moyen d’une évaluation centralisée indépendante menée à l’insu, conformément aux critères RECIST 1.1.
‡ Selon les estimations effectuées par la méthode de Kaplan-Meier; l’analyse comprend 14 patients présentant une réponse de 6 mois ou plus.
† Les renseignements sur le profil d’innocuité reposent sur une combinaison de données issues des études KEYNOTE-164 et KEYNOTE-158.
References:
- 1. Monographie de KEYTRUDA® Product Monograph. Merck Canada Inc., 19 avril, 2023.
- 2. Mayo Clinic. Microsatellite Instability, Tumor. Accessible à : https://www.mayocliniclabs.com/test-catalog/Overview/609364. Consulté le 14 février 2022.
- 3. College of American Pathologists. POET Report: Prognostic Uses of MSI Testing. Accessible à : https://webapps.cap.org/apps/docs/committees/technology/microsatellite_testing.pdf. Consulté le 14 février 2022.
- 4. Citation autorisée des Lignes directrices de pratique clinique en oncologie du NCCN (NCCN Guidelines®) pour le cancer du côlon, V1.2022. © National Comprehensive Cancer Network, Inc. 2021. Tous droits réservés. Consulté le 11 avril 2022.
- 5. Citation autorisée des Lignes directrices de pratique clinique en oncologie du NCCN (NCCN Guidelines®) pour le cancer du rectum, V1.2022. © National Comprehensive Cancer Network, Inc. 2021. Tous droits réservés. Consulté le 11 avril 2022. Pour consulter la version la plus récente et la plus complète des lignes directrices, rendez-vous sur le NCCN.org. Le NCCN ne donne aucune garantie de quelque nature que ce soit quant à leur contenu, à leur utilisation ou à leur application et décline toute responsabilité quant à leur application ou à leur utilisation de quelque façon que ce soit.
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